Titre de l'ouvrage : Frère 
  Aloysius et le petit prince
                            Sous titre : 
                            Auteur (s) : Philippe 
  Monot
                            Éditeur : Nestiveqnen, 
  2002 
                            Nombre de pages : 318 
  pages 
                            Mots clés : Magie, 
  heroic fantasy, dieu, création, foi, autre monde
                            Genre littéraire : Fantasy
                            Présentation de l'ouvrage : 
                            Le monde est en train de s'effacer. Les 
couleurs, puis les formes, les montagnes, tout ressemble de plus en plus à 
la surface unie d'un parchemin. Les bords disparaissent carrément, comme 
mangés par le temps.
Frère Aloysius, Moine mage de Shushany va devoir sortir de sa retraite 
pour parcourir un monde qu'il ne connaît plus. Un monde ravagé par 
l'Effacement d'une part, puis par les hordes barbares d'autre part. Il va partir 
à la recherche du moyen de sauver son monde, contre l'avis de ses condisciples. 
Dans sa quête, il va être accompagné par un ancien élève, 
plus guerrier que mage, Béthorne. Malgré une franche antipathie 
entre les deux hommes, leurs chemins seront communs. Un chemin parsemé 
de découvertes et de gnons pour le mage. On le croirait sorti de la cuisse 
de Rincevent. 
Si on me dit que Philippe Monot a joué ou joue encore à un jeu 
  de rôle, et plus particulièrement Dongeons & Dragons, je ne 
  serais pas plus étonné que ça. On retrouve tous les constituantes 
  d'une quête pour sauver le monde, mais aussi des trolls, des mages, des 
  elfes, pas ceux du Seigneur des anneaux, mais ceux du petits peuple, 
  inconstant et dangereux. Des barbares, des châteaux, un prince qui devra 
  lui aussi le monde s'il veut retrouver son royaume.
Le tout est écrit avec rythme et humour, pas aussi présent qu'un 
  livre de Terry Pratchett, 
  mais avec une verge proche de celle d'un Vance. Les personnages ne sont pas 
  très poussés, mais largement suffisant spour une quête en 
  un volume. Peut-être une fin un peu trop "prosélytique" 
  pour moi, mais je peux me tromper. La foi a une très grande importance 
  dans le récit.
  Pour un premier roman, c'est, pour ma part, une réussite. La couverture, 
  de Florence Magnin, est superbe. 
Dès 12/13 ans, pour les bons lecteurs. 
                            Prix : 18,14 
  € 
                            Avis personnel : 

                            Auteur du résumé : Dilvich
                            
                            