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Titre de l'ouvrage : Les Chroniques des Ravens (Dawnthief, Chronicles of the Raven, Book two)

Sous titre : NoirZénith, vol. 2

Auteur (s) : James Barclay

Éditeur : 2000 ; Bragelonne; 2003, Pocket – Fantasy n° 5864, 2006

Nombre de pages : 730 pages

Mots clés : mercenaire, Magocrathie, mage, autre dimension, démon

Genre littéraire : Heroic Fantasty

Présentation de l'ouvrage :

Présentation du cycle Les Chroniques des Ravens

Résumé

Les Ravens sont un groupe de mercenaires, les plus chers du marché sur Bahia, mais aussi les plus surs. Ils sont liés par un code strict, qui fait d’eux les meilleurs tueurs, mais jamais des assassins.
Leur mission contre les Seigneurs Sorcyers menée à bien, Les Ravens, accompagnés de Styliann, le seigneur du mont, et de Ry Darricket et ses cavaliers, vont repartir en guerre, mais contre les Ouestien, qui ont perdu l’appui des sorciers noirs.
Malheureusement, en lançant le sort qui a permis de battre les Seigneurs Sorcyers, les Ravens ont aussi une porte vers une dimension habitée par des créatures encore plus puissantes. Les Dragons. C’est d’ailleurs l’un d’eux, Sha-Kaan, qui va les prévenir du danger. Danger qui mets en péril sa couvée. Le puisant dragon est obligé de faire appel aux mercenaires pour refermer cette porte.
Pendant ce temps, les Ouestiens, mené par Senedai, ont pris Julasta, et en assiègent la tour de magie.
Mais la résistance reprend son souffle, et les Ouestiens n’ont pas encore gagné.

Avis

De l’ Heroic fantasy typique. Les chroniques commencent avec un groupe de héros/mercenaires déjà bien avancés dans la vie (pas autant que les vieux baroudeurs de Gemmell).
Un guerrier sans passé, surnommé L’inconnu, un barbare, Hirad, bourru et simple comme il se doit, un magicien elfe, Ilkar. Voilà pour l’ossature de la fine équipe. A ceux-là, rajouter quelques compagnons tout aussi solides, et vous avez une parfaite équipe de mercenaires, avec chacun sa spécialité et une ambiance bon enfant…, sauf lorsqu’il s’agit de combattre. Là, c’est le rêve de tout joueur de D&D qui voudrait avoir un groupe parfait J . Mais ça ne marche que dans les livres.

Heureusement, au-delà de l’imagerie typique, l’auteur a créé un monde où personne n’a le temps de se reposer, personnages comme lecteur. La mort survient aussi abruptement que le découpage des chapitres. L’écriture de ces chroniques est d’ailleurs une des marques les plus visibles de James Barclay. Des paragraphes assez courts qui nous font suivre presque au jour le jour les actions des différents personnages importants du récit. Cela donne un rythme de lecture très rapide, mais qui laisse peu de temps pour absorber les informations, et pour qui se perd facilement dans les noms, la distribution en première page, juste avant la carte, ne sera pas inutile.

On peut aussi remarquer parfois l’utilisation d’un langage actuel, mais cela passe bien.

En fait, j’ai eu un peu l’impression de lire la chronique d’une campagne de Donjons et Dragons, ou d’un autre jeu médiéval fantastique, surtout dans la description des combats individuels. Mais très bien écrit, et surtout bien rythmé.

Illustrateur : Guillaume Sorel
ISBN : 2-266-15145-2
Traduit de l’Anglais par Isabelle Troin

Prix : Pocket, 9,30 € ; Bragelonne , 19,00 €

Avis personnel : avis positif garfieldavis positif garfield

Auteur du résumé : Dilvich

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