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Titre de l'ouvrage : Dark moon

Sous titre :

Auteur (s) : David Gemmell

Éditeur : 1996 ; Bragelonne, 2002

Nombre de pages : 334 pages

Mots clés : Autre race, magie, barde, mercenaires, magie,

Genre littéraire : Heroic fantasy

Présentation de l'ouvrage :

Du Gemmell. Je pourrais m’arrêter là. Mais non. Allez c’est parti… sur la couverture, une immense cité, gothique à souhait. Sortant de trois portes, que l’on imagine sombres et caverneuses, de longues files de cavaliers, armés d’épées et de lances, des armes de siège et sûrement des fantassins. Ce ne sera pas tout de suite dans le livre, mais ce sera.

Pour l’instant, Tarantino, mercenaire de son état, aux deux épées courtes mortelles essaie de sauver sa vie lors de la débandade de l’armée, enfin ce qu’il en reste, dont il faisait partie. Tarantino, seul dans la vie, mais pas dans sa tête. Car il a un frère, Dace. Ils se partagent le même corps. Dace est un tueur, et un bien meilleur guerrier que Tarantino, qui lui laisse la place en cas de combat, pour la reprendre dès que son frère devient trop dangereux pour les autres. Tarantino est la partie « gentille » du duo.

Karis est une mercenaire, elle aussi. Mais la différence avec Tarantino, c’est qu’elle est une générale, une (Microsoft ne veut pas d’ « une », m’en fout avis positif claude ) chef, qui ne perd jamais. Une jeune femme dure, la « Reine de glace » pour beaucoup, une petite princesse pour d’autre, mais dans tous les cas une femme qui ne trouve une sorte de paix que dans le danger et la guerre.

Duvodas, barde qui ferait pâlir d’envie tout joueur de Dongeons & Dragons ©, mais on est en pleine geste épique, ne demande qu’à faire un avec la terre, c'elle dont il tire sa magie. Mais il va connaître l’amour, qui sera bien plus terrible que la guerre pour lui.

Une histoire sur fond de guerre entre d’autres races, une guerre si ancienne qu’elle s’est perdue dans les mémoires. D’un côté les Daroth, des guerriers, sans équivalent, et sans peur de la mort, puisque d’une certaine façon immortels, les Eldarins, peuple à la recherche de la paix, et qui y était arrivé, et les Oltors que la sagesse avait menés à une vie qui ne leur permettait pas de voir arriver leur perte. Maintenant les premiers reviennent, et ils vont détruire les humains.

Mais c’est sans compter sur tout ce qui semble tenir cœur à l’auteur. L’humain, sous sa carapace de rapace, de voleur et de destructeur, est aussi inventif, loyal, d’une largeur d’esprit incontestable, d’une résistance à l’adversité qui fait du faible un fort, de l’ennemi un allié. Un peu d’ironie de ma part. Non. C’est seulement que j’ai lu trop de David Gemmell de suite. Une erreur qui n’enlève rien à la qualité de ses livres, mais qui peu lasser à trop grandes doses. Alors ne pas oublier d’entre couper avec d’autres auteurs, surtout d’autre genre. C’est dommage de gâcher de si moment de lecture par overdose de bon sentiment, tout à fait tenable dans un livre,plus difficilement dans deux ou trois de suite.

Donc, le combat du bien contre le mal, mais avec la bonne vieille question de qu’est-ce que le bien et qu’est-ce que le mal au passage.

Prix : 20,00 €

Avis personnel : avis positif claudeavis positif claude

Auteur du résumé : Dilvich

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