Titre de l'ouvrage : Le
Dernier continent
Sous titre : Les
Annales du Disque-monde, vol. 22
Auteur (s) : Terry
Pratchett
Éditeur : 1998
; L'Atalante, 2003
Nombre de pages : 397
pages
Mots clés : Australie
Genre littéraire : Fantasy
Présentation de l'ouvrage :
Rincevent est en plein désert. Pas
une goutte de pluie, ici appelée la mouille, enfin quand elle existait,
mais il ne le sait pas encore. Rincevent se trouve sur le dernier continent du
Disque monde. Et Rincevent va devoir le sauver ce continent, comme d’hab’,
quoi.
Pour l’instant, ce n’est pas son problème. Il lui faut de l’eau,
et de quoi manger, parce que, autrement, il ne va rien sauver, alors il serait
sympa que le monde lui donne un coup de main.
Du côté de l’Université de l’Invisible, rien
ne va plus. Le bibliothécaire est malade, et lorsque l’on a passé
sa vie dans une bibliothèque remplie de livres de magie, certains assez
dangereux pour vous attaquer en essayant d’arracher leurs chaînes,
un malheureux rhume se transforme en catastrophe. Et comment la bibliothèque
peut-elle continuer à fonctionner sans bibliothécaire ? Et comment
l’Université de l’Invisible pourrait-elle continuer sans
bibliothèque ? Et qui peu sauver le bibliothécaire… sinon
Rincevent.
Mais où est-il, Rincevent. Sur un continent inconnu, certains disent-ils.
Mais où ?
Iksiksiksiks, autre nom d’une Australie improbable sur le Disque-monde,
est le théâtre de cette dernière aventure de Rincevent,
qui va aussi voir l’arrivée de l’Archichancelier et de quelques-uns
de ses plus grands mages. Un monde où les politiques sont mis en prison
dès le début de leur mandat, où les kangourous parlent,
où Mad Max se retrouve réincarné dans la peau d’un
nain. Plus quelques clins d’œil filmographiques et musicaux. Un monde
sec, où les régates se font en portant les bateaux. Mais surtout
un monde où l’on a le plaisir de retrouver Rincevent, ce mage raté,
maître de la fuite, expert du camouflage, et celui vers lequel se tournent
tous les regard, même celui de la Mort, dès qu’il s’agit
de sauver un monde.
Enfin, « Casse pas la tête », tout ça va se régler
d’une façon ou d’une autre… ou encore une autre ?
Moins politique que d’habitude (Je ne connais pas bien l’Australie,
alors peut être que si), mais sans oublier quelques coup de griffes en
parlant des aborigènes, ce volume reste un plaisir pour les zygomatiques,
et qu’est-ce que ça fait du bien.
Traduction : Patrick Couton
Prix : 17,10
€
Avis personnel :
Auteur du résumé : Dilvich