Titre de l'ouvrage : Les
Flammes de la nuit
Sous titre :
Auteur (s) : Michel
Pagel
Éditeur : J’ai
lu, 2000, n° 6395
Nombre de pages : 573
pages
Mots clés : politique
fiction, géant, micro monde, mutation, dimension
Genre littéraire : Fantasy
Présentation de l'ouvrage :
Dans un monde d’ambiance médiévale,
le monde de Fuinör, une jeune princesse échappe par la volonté
d’un mage à sa destinée de princesse. Fort jolie, habile aux
arts délicats, à la musique, au chant, elle épousera un beau
et puissant prince, mais elle ne sera pas comme le voulait la dernière
des fées, sans esprit, comme le voudrait la bienséance. Le mage,
lui, ne le veut pas ainsi. Elle sera intelligente. Et deviendra une de ses armes
pour vaincre les fées et leurs maîtres, les dieux.
Sur un monde où toutes les décennies, toutes les couleurs changent,
mais où tout reste malgré tout statique, par la volonté
de ses dieux, un combat va être mené, où la Loi va s’opposer
au chaos, le libre-arbitre de la nature à l’immobilisme, assurance
de respect du pouvoir divin.
Dans un mélange de plusieurs contes, que l’on distingue plus ou
moins en filigrane, c’est un monde très bien construit, où
la loi n’est discutée par personne, opprimeurs comme opprimés.
Un monde de « rêve » pour tous puisqu’il ne viendrait
à personne l’idée de le contester. C’est la volonté
des dieux. Un combat où chacun donnera de lui, se retrouvant ballotté
par des pouvoirs qu’il accepte de suivre ou de combattre.
Un très bon livre, une écriture que l’on a plaisir à
suivre. Un monde à la Jack Vance, un univers inventif, tout en restant
accroché aux bases classiques des épopées et des contes.
Prix : 7,80
€
Avis personnel :
Auteur du résumé : dilvich