Titre de l'ouvrage : La
Compagnie noire (The Black company)
Sous titre : Saisons
funestes (Bleak seasons) : septième livre des annales de la Compagnie
noire
Auteur (s) : Glen
Cook
Éditeur : 1996,
L’Atalante, 2003
Nombre de pages : 431
pages
Mots clés : mercenaire,
Magie, Bien/mal
Genre littéraire : Dark
fantasy
Présentation de l'ouvrage :
Murgen, porte étendard,
et élève annaliste de Toubib, est persuadé d’avoir
vu périr son capitaine et La dame.
Cerné dans Dejagore avec les derniers vétérans de la Compagnie,
il doit concilier les affres d’une ville assiégée avec un
capitaine complètement mégalomane, Mogaba. Comme si cette situation
n’était pas déjà suffisamment dure, un enchantement
le propulse à différents instants de son proche passé, et
jamais pour lui en montrer les bons moments.
Un des livres des annales le plus bizarre de la série,
où la folie de ces personnages arrive à embrouiller à plaisir
le lecteur.
Sur le même modèle que « la pointe d’argent »,
c’est un nouvel annaliste qui nous relate la suite des événements.
Mais ce n’est pas cela qui déstabilise. Que ceux qui ont du mal
avec les mélanges passé / présent prennent leur courage
à deux mains.
C’est aussi un volume où certains des fragments éclatés
de la Compagnie vont se rejoindre, mais toujours dans le sang et le carnage.
Là où la Compagnie noire passe, on trouve très peu de paix,
et lorsque cela arrive, c’est au centuple qu’il faut le payer. Mais
foin de sentimentalisme, Glen Cook a décidé que ses mercenaires
ne sont pas des cœurs tendres, et la compagnie continue à avancer,
même si c’est maintenant pour son propre compte.
Traduit par Alain Robert
Prix : 16,25
€
Avis personnel :
Auteur du résumé : Dilvich