Titre de l'ouvrage : Les Enfants de Ji

Sous titre : Le Testament oublié, tome 1

Auteur (s) : Pierre Grimbert

Éditeur : Octobre - Croix des fées, 2004

Nombre de pages : 263 pages

Mots clés : {motcle}

Genre littéraire : Fantasy uchronique

Présentation de l'ouvrage :

Résumé :
Quatrième de couverture
Vingt-trois ans sont passés depuis la terrible attaque des barbares Wallattes contre la Sainte Cité d’Ith. Si les Hauts-Royaumes ont retrouvé leur stabilité, la confusion règne toujours dans le reste du monde connu…
Tout particulièrement derrière le Rideau, cette immense Cordillère dont le bruit court qu’elle pourrait abriter un Démon. Au pied de Mont-fleuri, les sectes noires sortent de l’ombre, répandant leur foi maudite jusqu’à Kaul et Lorelia… Et les tueurs Zün eux-mêmes voient leurs traditions soudain ébranlées !
Loin de cette agitation, les héritiers ont repris le cours de leurs vies. Ils ont eu des enfants, auxquels ils ont essayé de donner une existence normale. Ainsi, cette nouvelle génération ne connaît rien de l’aventure périlleuse qui mena leurs aïeux aux quatre coins du monde connu… Mais il vient toujours un moment où les plus grands secrets refont surface.

Résumé
Cela fait longtemps que Uzul, dieu pour qui le futur n’a pas de secret, ou presque, n’a pas senti d’intérêt à sa longue captivité. La dernière fois, c’était il y a vingt-trois ans, lors de sa rencontre avec Yan. Ce jeune homme qui troubla le futur. Une animation délicieuse pour un dieu emprisonné pour toujours. Et cette agitation reprend vie. Il n’arrive que difficilement à scruter les avenirs possibles. Et cela lui fait presque peur.

Les anciens Héritiers disparaissent les uns après les autres, et ce sont leurs enfants, ignorants en grande partie de l’histoire de leurs parents qui vont se retrouver pourchassés à travers le monde. Des enfants peu formés à ces aventures, qui vont devoir mettre de côté tout ce qui leur paraissait normal, pour plonger dans un monde de dangers et de légendes.

Avis :
Bien que j’aie lu les quatre premiers tomes, je n’ai pas réussi à faire de résumé de cette grande fresque. Comme il m’aurait été aussi difficile de faire celle du Seigneur des anneaux. Cependant il me reste le souvenirs d’un de ces romans que l’on voudrait lire en le dégustant, mais que le rythme et l’intrigue poussent à dévorer à pleine dents, à avaler, la plus part du temps sans mâcher.
Eh bien, c’est ce qui est arrivé avec le premier volume du second cycle de Ji. Pierre Grimbert fait revivre son monde avec toujours autant d’allant. Redonnant vie à de nouveaux héritiers, évitant l’écueil de faire des copies des personnages du premier cycle.
Donc un premier volume fait essentiellement pour présenter les différentes forces en présence, et nous donner le rythme. Il ne reste plus qu’à le tenir, Monsieur l’auteur.

Un petit plus, une très belle couverture de Julien Delval, qui a fait aussi celle Des Masques de Wielstadt et du Chevalier de Wielstadt de Pierre Pevel, chez Fleuve noir.

Prix : 17,50 €

Avis personnel :

Auteur du résumé : Dilvich